Il me rabaisse

Il me rabaisse

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Pascal Quionquion

Penser "Il me rabaisse" ne doit plus passer inaperçu. Découvre comment faire face à cette réalité douloureuse…

Salut, ici c’est Pascal, et je te souhaite la bienvenue sur Couple Heureux, le podcast conçu pour apprendre à s’aimer, quel que soit ce que l’on traverse. Aujourd’hui, on va parler d’un sujet dur mais essentiel, un sujet que beaucoup vivent dans le silence, parfois même sans mettre de mots dessus : il me rabaisse. Pourquoi en parler ? Parce que le rabaissement n’est pas toujours visible. Ce ne sont pas des cris ou des gestes violents. Ce sont des mots, des tons, des attitudes qui abîment lentement, et qui peuvent, à distance, ne pas être reconnus.

Quelqu’un autour de nous peut ne pas être témoin de notre rabaissement puisque les paroles ont été formulées en douceur, mais elles ont fait leur travail lentement, profondément, et souvent dans l’ombre. Pour avancer de manière concrète, je vais m’arrêter sur quatre points : comprendre ce que signifie être rabaissé, partager avec toi deux témoignages vécus, m’arrêter sur les conséquences psychologiques du fait de se sentir rabaissé par son partenaire, et enfin, que faire quand on se sent rabaissé.

Avant d’entrer dans le vif du sujet, je voudrais te dire qu’il y a des choses qui peuvent être sensibles. Si tu es majeur et adulte, cela ira très bien, mais je voudrais que tu saches que, notamment dans les témoignages, il y aura des choses un peu difficiles à entendre. Si tout est OK pour toi, alors c’est parti !



Comprendre le rabaissement : plus que de simples mots

Être rabaissé, c’est entendre des remarques qui blessent constamment. C’est quand l’autre utilise l’humour comme un déguisement pour te critiquer. Un ton méprisant ou une remarque dévalorisante peut être glissée comme si de rien n’était. Par exemple : « Tu ne comprends jamais rien », « Tu as encore fait n’importe quoi », ou « Tu devrais être contente que je sois avec toi ». Ce ne sont pas toujours des insultes directes ; parfois, c’est plus subtil, dans un regard, un soupir, ou un petit rire moqueur. Des phrases comme « Tu crois vraiment que tu vas y arriver en continuant comme ça ? » peuvent faire très mal.

Il est crucial de distinguer le rabaissement de la critique saine. Une critique saine est respectueuse et vise à construire. Le rabaissement, lui, cherche à réduire, écraser, ou montrer une supériorité, ce qui est souvent un signe de faiblesse chez l’agresseur.

Rabaissement vs. critique saine : exemples concrets

Voici des exemples pour mieux faire la distinction :

  • Oubli d’une tâche :
    • Critique saine : « Tu avais oublié de sortir les poubelles hier. Est-ce qu’on peut trouver une solution pour mieux se répartir les tâches ? »
    • Rabaissement : « Tu n’es même pas foutu de sortir les poubelles, franchement, ce n’est pas compliqué ! »
  • Colère :
    • Critique saine : « Je comprends que tu aies été stressé, mais j’aurais aimé qu’on parle calmement au lieu de crier. »
    • Rabaissement : « Tu es incapable de gérer quoi que ce soit sans péter un câble, c’est pathétique. »
  • Apparence :
    • Critique saine : « Quand tu portes des couleurs plus sobres, ça te va vraiment bien, je trouve. »
    • Rabaissement : « Tu sors vraiment comme ça ? On dirait que tu es habillé pour le carnaval. »

Quand on est rabaissé régulièrement, on ressent de la honte, de la souffrance, et une confusion. On se demande : « Est-ce que j’exagère ? Est-ce que c’est moi le problème ? » Cette culpabilité insidieuse peut nous faire croire que nous provoquons ce comportement. Petit à petit, on perd notre confiance en soi.



Des récits vécus : l'impact du rabaissement

Je veux partager deux témoignages, reconstruits à partir de récits réels pour préserver l’anonymat.

Une personne confie : « Au début, c’était juste des blagues. Il me disait que j’étais trop sensible, que je ne comprenais rien à l’humour. Mais avec le temps, les critiques sont devenues régulières : sur ma façon de parler, de m’habiller, sur mes amis. Il me disait que sans lui, personne ne voudrait de moi. Je me suis isolée, j’ai douté de moi, et je croyais que c’était moi le problème. »

Un autre témoignage, tout aussi poignant : « Hier, lors d’un dîner avec des collègues, il m’a de nouveau rabaissée devant tout le monde. Une remarque sèche, un ton humiliant, comme d’habitude, quand il veut montrer que c’est lui qui décide. Je me suis forcée à sourire, à faire comme si de rien n’était, mais à l’intérieur, j’étais en miettes, et ce n’est pas la première fois. Il impose, il coupe la parole, il me reprend toujours, avec cette impression que mon avis ne compte pas. Je finis par me taire, par culpabiliser, comme si j’étais la source du problème. »

Le piège du silence et de l’emprise

Ce genre de récit est malheureusement trop fréquent. Ces situations sont souvent indétectables pour les autres, car les remarques rabaissantes sont parfois voilées, même en public, par un sourire ou une tonalité faussement légère. « Ah, tu vas nous ramener ton histoire que tu as racontée quinze mille fois là, on a déjà entendu », dit-il avec un petit sourire qui masque le pic. Avec le temps, ce comportement devient un mode de communication, et la victime se met à douter d’elle-même.

Si tu vis ça, tu te demandes peut-être : « Est-ce que je suis fou ? Est-ce que j’ai un problème ? » Parce que ton partenaire semble trouver ça normal, tu en viens à croire que c’est toi qui dysfonctionnes. Cette interrogation n’est pas anodine : il y a un lien fort entre le rabaissement, la manipulation, la domination, et la dépendance affective. On est alors dans une forme d’emprise où la victime se pense coupable et responsable de la situation. Combien de personnes m’ont demandé en accompagnement : « Je me dis que c’est peut-être moi qui ai un problème finalement ? » C’est souvent la victime qui consulte, persuadée d’être la cause du problème.

Les lourdes conséquences psychologiques

Quand le rabaissement est constant, les conséquences psychologiques sont bien réelles :

  • L’estime de soi s’effondre. On perd confiance, on n’ose plus parler, donner son avis, voire sortir ou interagir socialement. L’isolement, émotionnel et social, s’installe.
  • Le corps réagit. Fatigue, troubles du sommeil, stress, douleurs physiques (mal de ventre, diarrhées, gorge serrée, oppression thoracique, douleurs à la nuque ou à l’épaule jusqu’à la capsulite) sont des manifestations somatiques fréquentes.
  • L’anxiété et l’angoisse sont omniprésentes. Être constamment sur ses gardes est épuisant. On en vient à ne plus pouvoir poser de limites ni même envisager de partir.

On peut rester, en pensant qu’on mérite ce qu’on vit, qu’on est piégé, qu’on l’a cherché, ou qu’on n’a pas su prendre de décisions.

 

Que faire quand on se sent rabaissé ?

Je voudrais commencer à répondre à ces préoccupations dans cette partie maintenant, dans laquelle je voudrais répondre à : que faire quand on se sent rabaissé ? Que faire ?

Première chose à faire, c’est de reconnaître les signes. Ce n’est pas dans la tête qu’on se sent rabaissé. Si tu te sens mal, si tu as mal, c’est qu’il y a quelque chose à entendre. La souffrance est systématiquement le signe d’un dysfonctionnement. Évidemment, l’humanité tout entière est touchée par la souffrance, mais entre être touchée par la souffrance et dormir, se réveiller, manger, boire de la souffrance, il y a une différence colossale.

Donc, je voudrais que tu ne t’habitues pas à cette souffrance, que tu te dises : « Ce n’est pas dans ma tête. Si j’ai mal, j’ai quelque chose à faire, quelque chose à mettre en œuvre. » Je fais référence notamment au podcast qui s’intitulait « Dire ou ne pas dire quand on a des problèmes conjugaux ». Quand tu as un problème de souffrance aussi grand soit-il, partage-le. J’aime bien utiliser l’échelle de un à cinq, tous ceux qui sont accompagnés par moi la connaissent : un étant une souffrance minime, quasiment inexistante, et cinq étant la souffrance maximale.

Si sur une échelle de cinq, tu es au moins à trois, il y a quelque chose à faire. Ne te dis pas qu’il n’y a rien à faire. Et même si tu arrives à cinq de manière épisodique, et que ce caractère épisodique se répète à une fréquence régulière, et que tu arrives à une souffrance tellement puissante qu’on en est à l’angoisse, à la somatisation avec les troubles corporels, il y a quelque chose à faire. Ne te dis pas que « bah oui, ce sont peut-être des signes, mais c’est sans doute dans ma tête. » Demande à quelqu’un d’extérieur de regarder ta situation. Ne minimise pas la situation.

Tenir un journal des incidents

Cela nous amène justement à la deuxième action que je te propose : noter dans un journal ce qui se dit, comment tu te sens, et tu verras que ce n’est pas un accident isolé finalement ce qui se passe. Je voudrais que tu notes la date, ce qui a été dit, la date, ce qui a été fait, de manière à rapporter, quand tu viendras consulter quelqu’un, lui dire : « À telle date, il a dit ça, à telle date, il a fait ça. À telle date, ton partenaire s’est comporté comme ça. À telle date, il a utilisé telle et telle approche devant telle et telle personne dans telle et telle situation », etc.

Quand on a tendance à être rabaissée par son partenaire, il y a de fortes chances pour qu’il le fasse dans la vie privée, intime, où on est que tous les deux, et dans la vie publique, même si dans la vie publique ce sera masqué avec un petit sourire. « Oh, mais tu nous as ramené ton histoire que t’as racontée quinze cinquante fois là ! Maintenant on a déjà entendu », avec un petit sourire pour dire « Je fais de l’humour », il l’a quand même dit. Donc, tu prends ton cahier et tu notes dans ton journal ce qui a été dit, et j’insiste pour donner les dates parce que je ne veux pas que tu te fondes sur tes impressions : « Oh mais j’ai l’impression que… » Tu pourras donner des faits si tu notes les dates et les propos exacts. Donc, essaie de noter les propos exacts.

Se regarder de haut

Il est assez fréquent que dans les accompagnements que je fais avec les personnes qui sont dans des programmes Couple Heureux, certaines, je les invite à enregistrer les conflits. En général, je leur demande de mettre leur partenaire dans la boucle et de l’informer que l’on enregistre les conflits, mais de prendre un téléphone, un dictaphone, et tout de suite de poser le téléphone pendant qu’on est en train de se disputer, de manière à avoir un regard extérieur qui est généralement le mien pour dire : « Effectivement là, ceci, là cela. » Et je comprends mieux ce qui se passe. Donc, ça permet d’avoir un éclairage objectif en étant extérieur à la situation conflictuelle et d’aider l’un et l’autre, quand j’accompagne les deux, ou d’aider celui qui est accompagné, quand il y en a un des deux que j’accompagne dans le couple. Pour qu’il ait les moyens de voir si effectivement il me rabaisse ou pas, s’il y a des éléments qui peuvent être modifiés et quels sont-ils, de manière à améliorer la relation.

En parler à une personne de confiance

Et puis, bien entendu, en parler à une personne de confiance. Tu l’avais déjà compris ce que j’ai déjà évoqué avant. Le mieux, c’est un professionnel ou une personne bienveillante, pour faire référence encore au podcast « Dire ou ne pas dire que l’on a des problèmes conjugaux ».

Poser des limites claires

Quatrième action à faire, à poser : poser des limites. Normalement, si tu en as parlé à une personne bienveillante ou, mieux encore, un professionnel, il va te demander de poser des limites : dire à ton partenaire, calmement, ce genre de phrases, « Je ne veux pas les entendre, je trouve qu’elles me font mal. » Tu as le droit de dire stop, ou « Je n’accepte pas que tu me parles comme ça. Je ne veux plus que l’on vive une situation dans laquelle tu m’exposes devant les gens, comme si je ne valais rien, ou que tu me détruises, ou que tu me réduises, ou que tu me minimises, ou que tu me piétines devant des tiers, que ce soit ma famille, mes amis, mes collègues, mes voisins, ou les enfants. »

Si tu n’es pas en mesure de le faire, de le dire, fais-toi équiper pour que d’autres t’aident à le faire. Ou que peut-être dans un coaching, on puisse le faire à trois et que je puisse dire à ton partenaire que je ne suis pas du tout d’accord qu’il continue comme ça et qu’il va falloir faire quelque chose. Peut-être était-il judicieux que tu entres et que vous entriez tous les deux dans le programme « Maîtriser votre vie, le guide pratique contre la manipulation », parce qu’il y a quelque chose à poser de manière claire.

Ne plus te taire

Ne te contente pas de te dire : « C’est peut-être moi qui débloque. » « Évidemment, si je m’étais habillée autrement, ils ne m’auraient pas dit que je m’étais habillée comme une pute » ou bien « Ils ne m’auraient pas dit que j’étais habillée comme un homo » ou « Ils ne m’auraient pas dit que j’étais habillée comme un sac. » « Si j’avais pas parlé comme ça, ils ne m’auraient pas envoyé bouler en me disant que j’étais qu’un con ou qu’une merde. » « Ils n’auraient pas fait tout ça, donc c’est bien parce que c’est moi qui l’ai poussé. » Non, non, et non ! Cesse de croire ces salades ! Même si son attitude était inacceptable, ça n’explique pas ou ça n’excuse pas plus exactement que ton partenaire ait eu, à son tour, une attitude inacceptable.

Envisager de partir : une décision réfléchie

Et puis, cinquième chose, parfois, et je préfère que tu le fasses après avoir été entendue par un professionnel, eh bien, parfois il faut envisager de partir. Ça ne veut pas dire de partir de manière définitive, mais au moins d’envisager de partir. Et la bonne nouvelle, c’est que si tu le fais accompagner par un professionnel, il pourra te donner les modalités pour partir.

Quand je pars, quelles sont les précautions avant de partir ? Est-ce que je pose un courrier ? Est-ce que je lui en parle ? Est-ce que je prends des dispositions auprès d’un avocat ou pas ? Et quelles sont les conditions ? Parce que parfois, ton partenaire n’entendra la gravité de la situation que si tu poses un acte grave. Et partir peut faire partie de ces actes graves, même si je sais que c’est un partenaire, même quand on part, il considère que « voilà, de toute façon, il va revenir, elle va revenir, c’est pas grave, elle a pété un câble, il a pété un câble, c’est encore lui qui débloque, les psy, il faudrait qu’il consulte, et moi, je n’ai rien à me reprocher. »

 

La préparation du départ : une démarche essentielle

L’idée de partir est à poser sur la table en cinquième position, synonyme en dernière position, après qu’on ait vraiment travaillé ensemble, et moi, je recommande vraiment un travail d’une bonne année pour qu’il n’y ait de regrets, ni l’un à côté, ni de l’autre, et qu’on ait pris une décision de partir avec la tête froide, sans aucune culpabilité, avec sérénité, avec un éclairage qui peut faire que l’on puisse dire à quelqu’un d’autre : « J’ai décidé de partir. » « Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi t’es parti ? Pourquoi tu l’as laissée ? » « Parce que tac tac tac tac tac. » « Je suis très au clair avec ça, je peux le dérouler de manière très évidente, il n’y a pas de charge émotionnelle terrible. » « Je suis parti, c’est dur, j’arrive pas à me remettre parce que j’ai pris un an, je l’ai construit, je sais pourquoi. » Donc, ça, c’est une chose qui peut être posée de manière assez claire et que je t’invite à prévoir après avoir évidemment été accompagnée. Et moi, je recommande une bonne année.

Agir contre le rabaissement : tes droits et ton chemin

Se sentir rabaissée par ton partenaire, si c’est accidentel, bah ça peut arriver, mais je voudrais que même si c’est accidentel et que c’est arrivé une fois, que tu dises à ton partenaire : « Je me suis senti rabaissée, j’ai eu horreur de ça, je te demande s’il te plaît de ne plus agir de telle manière, parce que dans ces cas-là, il me rabaisse. » Le rabaissement psychologique dans le couple, c’est une forme de violence, même si ça peut être silencieux, parce que parfois ça peut être dans un silence : « Je n’en ai rien à faire de ce que tu me racontes. » Ça peut être une manière de rabaisser son partenaire, et je ne veux pas que tu t’installes dans cette approche en te disant : « Bah oui, bah il s’en fiche de moi et c’est comme ça. »

Et que tu vives dans la peur, dans le doute, dans la honte, dans la culpabilité, dans le malaise. Tu as le droit d’être respectée, tu as le droit d’être écoutée, tu as le droit d’être aimée sans être diminuée. Même si j’utilise ce terme « tu as le droit », certains savent que je l’utilise de manière impropre, mais ce n’est pas ce que je veux être dans ton langage. Si tu n’as pas encore commencé à cheminer dans un programme Couple Heureux, parce que la notion de droit n’a pas de raison d’être dans cette approche, mais quand même, je parle en langage commun de tout le monde : tu as le droit d’être respectée, écoutée, aimée et de ne pas être diminuée, d’être toi, de te manifester, de ne pas être d’accord sans qu’on ait envie de t’envoyer bouler, de t’en envoyer une.

Viser une relation saine

Tu peux construire une vie saine dans le désaccord, et ce n’est pas un problème de ne pas être d’accord avec ton partenaire. Ce n’est pas un problème d’avoir ton avis. C’est un problème que l’autre ne sache pas gérer ta manière d’être en désaccord ou ton désaccord, ton expression d’avis, et tout ce qui pourra faire que tu pourras te manifester dans ton toi, dans ton véritable être profond.

Si tu connais quelqu’un qui a besoin d’écouter ce podcast, partage-le lui, parce que ça pourrait être vraiment bon pour lui ou pour elle de l’entendre et de sortir de sa caverne conjugale en se disant : « Mais peut-être qu’effectivement il est temps que je fasse quelque chose. » Parce que je voudrais que tant toi que toute personne qui est concernée par ce sentiment d’être rabaissée par son partenaire, n’oublie pas que s’aimer, c’est aussi apprendre à dire non à ce qui nous détruit véritablement.

Mes attentes

J’attends tes commentaires, des cinq étoiles sur l’application podcast que tu utilises, et puis tes questions si tu en as bien entendu au bas de la retranscription de ce podcast sur le site couple-heureux.com. Si le programme « Maîtriser votre vie, le guide pratique contre la manipulation » te parle, eh bien tu peux également profiter pour prendre un rendez-vous pour un appel en cliquant sur le lien qui est dans la page de la retranscription de ce podcast d’aujourd’hui. Je me ferais un plaisir de te donner le meilleur de moi pour que plus jamais tu ne te sentes rabaissée, et que ta relation s’assainisse profondément, comme ces nombreuses personnes qui ont suivi ce programme « Maîtriser votre vie, le guide pratique contre la manipulation ».

Tu sèmes de l’amour, tu récoltes de l’amour. Tu sèmes du respect, tu récoltes du respect. Tu poses des limites, tu récoltes une reconnaissance des limites. Vas-y sème, et on se retrouve très bientôt pour avancer ensemble, pour que tu puisses te construire de mieux en mieux jour après jour dans l’action vers le progrès et le succès.

 

" S'aimer, c'est aussi apprendre à dire non à ce qui nous détruit."
Pascal quionquion

Ce qui fait la force des programmes Couple Heureux

Premier point fort

Pascal mise sur une approche très personnalisée avec des coachings, questionnaires et entraînements efficaces.

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Tu as accès à Pascal 7j/7 pour répondre à tes questions par message ou audio.

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